Une rencontre qui vise à sensibiliser les participants à l’importance de la protection de l’environnement car dit-on « les musées préservent notre passé, le recyclage préserve notre avenir. »
Le recyclage, appréhendé comme un procédé de traitement de produits arrivés en fin de vie, est considéré dans plusieurs pays d’Afrique comme un sous métier.
En 2018, le Bureau International du recyclage (BIR) institutionnalise le 18 mars comme journée internationale du recyclage, en prélude à une journée de recyclage célébrée pour la première fois au États-Unis en 1994. Dès lors cette journée est commémorée dans plusieurs pays du monde avec pour objectif commun : sa promotion.
S’attelant au Cameroun où pour l’heure, l’on note une carence de formation dans ce domaine toujours confiné dans l’informel, il peine à se développer. Pourtant cette Afrique en miniature regorge d’énormes opportunités sociales, économiques et mieux encore environnementales.
C’est sans doute les raisons qui ont motivées la mobilisation de l’association GREEN LIFE ART avec le soutient de ses nombreux partenaires nationaux et internationaux (ministères, organisation de la société civile, organisations internationales, ambassades, médias, grandes écoles, centres de recherche, entreprises nationales et multinationales).