En effet, ces conférences sont organisées sous le haut patronage du Ministère des Arts et de la Culture avec pour invités respectifs le Pr Vounda Marcelin et le Pr Enama Bissa Patricia.
De quoi occuper les participants.
Mardi, 15 novembre entre 9h et 10h 30 sont prévus : l’arrivée et l’installation des acteurs et participants, le mot de bienvenue mais aussi des expositions. À partir de 10h30 jusqu’à 17h 30, nous aurons droit à une conférence sur le thème “l’œuvre romanesque de Pabé Mongo”, des dédicaces de l’œuvre et une animation.
Quant à la journée de mercredi 16 novembre, nous aurons l’animation, une suite de l’exposition et des dédicaces des œuvres de Pabé Mongo entre 9h et 15h. La conférence sur le thème “l’œuvre dramatique de Pabé Mongo” et une animation vont meubler la tranche horaire de 15 à 17 heures.
Qui est Pabé Mongo ?
De son vrai nom Pascal Bekolo, Pabé Mongo est né le 6 juin 1948 à Doumé à l’Est. Il est entre autre écrivain camerounais et auteur de romans, de nouvelles, d’essais, d’ouvrages pour la jeunesse voire de textes pour le théâtre. Il détient comme œuvre : les romans “l’homme de la rue” (Hatier, Paris, 1987) et “Nos ancêtres les baobabs” (L’Harmattan, Paris, 1994).
Qui sont les invités à ces conférences ?
Le Pr Vounda Etoa Marcelin est un enseignant de la littérature française à l’université de Yaoundé I, qui a eu à travailler sur François Mauriac, prendre part à plusieurs colloques internationaux et nationaux consacrés audit auteur. Il est aussi le fondateur et directeur de la publication du mensuel culturel Patrimoine.
Le Pr Enama Bissa Patricia est une enseignante chercheure à l’Université de Yaoundé I et par ailleurs Secrétaire Générale de l’Université de Yaoundé II.
Toutefois, ce genre d’événement est une coutume. Il y’a quelques mois encore cette année, le Cercle des Écrivains Noirs Engagés (CENE) et le Syndicats des Amis de Mongo Beti (SAMBE) ont réunis des universitaires de divers horizons autour d’une thématique célébrant la vie de Mongo Beti et son œuvre en tant qu’écrivain engagé. Pour l’heure, le cap est mis à l’esplanade du Musée National dès ce mardi, pour une expérience riche en culture pour l’Afrique en miniature.